La chaussée

Après un certain temps de marche en silence, je décidai de répondre à mon tour à la question que la jeune fille avait posé.Les arbres autour nous indiquaient que la marche serait encore longue avant le désert.

-Je m'appelle Kenshi... Disons que je me spécialise dans le combat plus ou moins rapproché. Mon but dans la vie...À vrai dire...Je ne chreche qu'une chose...

Soudain, Je tendis mon bras gauche devant le torse de la jeune fille. Un kunai s'enfonca profondément dans la chair de mon avant-bras. Un éclair de douleur traversa mon esprit mais m'en préoccuper équivalait mourir. Je sortis tout de suite ma hache et la lancai dans un arbre d'ou venait la kunai. Un cri se fit entendre et une masse tomba du feuillage. Les quatre autres hommes sortirent alors que je rattrapait ma hache.

-Hou! Bien joué mon grand...Maintenant, je dois te prier de ne pas faire de manières et de bien nous donner tout l'or que tu as...Ou ta vie...

Le kunai qui s'est fiché dans l'avant-bras de Kenshi lui fait très mal, mais ne restreint pas ses mouvements. Il faudrait cependant l'enlever et panser la plaie pour éviter des complications. Énergie : 4/5

Lorsque les hommes sont sortis de leur cachette, les quelques arbres qui étaient là et le petit oasis sont soudainement disparus, découvrant un vieux tronc mort sur lequel se trouvait l'homme blessé par la hache. Manifestement, tout ce décor était une illusion créée par un prêtre. (Y'a pas d'arbres dans le désert normalement... )

J'analysai rapidement la situation. Cinq hommes, dont un blessé par la hache de Kenshi. L'un d'eux, sans arme, était sûrement un prêtre. Les autres étaient apparemment des brigands quelconques. Difficile d'évaluer leur force, mais ils semblaient très déterminés et agressifs...

De notre côté, nous étions seulement quatre ; deux jeunes prêtres, une artisane et un soldat blessé au bras. Globalement, les bandits avaient l'avantage, mais je disposais d'un atout particulier...

Le sable ! Il y avait du sable à perte de vue dans le désert plat, plein de sable à contrôler sans avoir besoin d'en créer... Je levai les bras et des dizaines de filets de poussière se soulevèrent du sol pour aller fouetter mes adversaires.

Maintenant j'avais le choix... Maîtriser le sable était facile dans le désert. Les immobiliser ? Les étouffer ? Les repousser ? Laisser les autres agir ? En tout cas, pour le moment, les malchanceux attaquants étaient bien occupés à se débattre dans mes serpents...

" Ah ca non! Il n'y en est pas question! " pensa Yumiko

* D'abord, elle detestait qu'on se blesse pour elle (même si au fond ca la touche beaucoup ^^) et en plus, des hommes sauvages en voulait à leur argent Quelle perte de temps!! Oh non, elle ne serait pas inutile! Elle s'apercut alors que Nemat avait déjà commencer à agir, des filets de sable s'élevait autour des brigants et Yumiko profita de leur inatantion pour sortir subtilement son arc, y encocher une flèche et tirer. La flèche alla directement se flanquer dans la gorge d'un des brigand et il tomba à la renverse. Malheureusement, ce ne pourra en être ainsi pour les autres, car ils s'aperçurent rapidement que la jolie dame s'avèrerait être un ennemi potentiel qu'ils avaient sous-estimé. *

- Si ca ne vous derange pas, nous souhaiterions passer, messieurs.

*leur lanca-t-elle avec un regard froid.*

Les brigands ne restent bien entendu pas indifférents à l'offensive. Avec un Gemini blessé et un Aries mort, ainsi que prisonniers dans le sable, ils n'ont certes plus l'avantage, mais ils n'abandonneront pas pour autant.

C'est le prêtre, un Aries, qui contre-attaque le premier. Il semble invoquer un pouvoir en lien avec le vent pour se défaire de ses liens de sable et aider ses compagnons à se libérer, malgré que ce soit assez difficile. Pendant qu'il s'occupe de contrer, au moins en partie, les assauts de Nemat, un des deux Scorpius réussit à approcher de Kenshi qu'il attaque d'un coup de sabre au buste. À Kenshi de réagir !

De plus, notons que les brigands se méfient de Nemat pour son sable, Kenshi pour sa hache et maintenant Yumiko pour son arc... mais Keiji les laisse pas mal indifférents...

Je vis le coup du scorpius arriver plutôt lentement et je n'eut aucun problème à l'éviter. Je me tassai sur le côté et la lame passa dans le beurre en entrainant son propriétaire avec lui. Je profitai de cette ouverture pour lui planter ma hache dans le dos.

-Tsss...Aucune capacité à se battre...

Je laissai aller la hache. Puis j'arrachai le kunai de mon bras. Je ne puis m'empècher de pousser un cri tellemet la douleur était forte. Je lancai le kunai sur l'autre scorpius qui s'avancait pour se battre. Le projectile l'atteignit en plein cou. Il s'effondra. Mort.

Je récupérai ma hache et je m'avanca vers les deux voleurs restant.

-ALLEZ VENEZ VOUS-EN BANDE DE LÂCHES! JE VOUS ATTENDS! VENEZ VOUS BATTRE!!

Keiji observait la scène, il ne voulait pas intervenir si ils navaient pas besion de son aide. Les sorts aquatique sont difficile a exécuter dans le désert et demande plus dénergie. Il remarqua le prêtre qui étiat en recul, il se dit que c'étia tune cible un peu plus facile, surtout que personne semblait se soucier de moi. je préparai mon sort, mon rayon d'eau.

AQUA LASER!!!

le prêtre prit le sort de plein fout et alla se fracasser contre la souche d'arbre. Je me concnetrai davantage pour maintenir le sort et jy introduisi mon trident a l'intérieur. Suivant le courant, Il alla transperce les corps frêle de l'ennemie.
MAINTENANT PERSONNE NE PEU PLUS NIER MA PRÉSENCE!!!

Avec tous les brigands inactifs sauf un, je me disais qu'il serait peut-être bien d'en prendre un en otage pour l'interroger ou nous aider. Je décidai d'immobiliser le Scorpius encore debout, quand je remarquai qu'il ne pensait qu'à une chose : la fuite. Dans mon idéologie, fuir était lâche, mais fuir en abandonnant un ami blessé, c'était bien cent fois pire !

La rage m'anima un instant, emportant mes réactions au-delà de ce que j'aurais voulu faire. Je dressai prestement un mur de sable, tsunami granuleux qui déferla sur le pauvre homme. Enseveli, il se débattait fougueusement, mais je n'en avais pas fini avec lui... Je fis pénétrer le sable partout où je le pouvais, dans ses vêtements, ses narines, sa bouche... Il était condamné à l'étouffement.

Quand j'avais fini, le corps de feu le brigand était six pieds sous le sable. C'était la première fois que je tuais quelqu'un et cela m'emplissait d'un sentiment partagé entre le désespoir et la joie du pouvoir... Était-ce nécessaire ? En fait, sûrement pas. Nous aurions probablement pu nous contenter de les repousser ou les faire arrêter.

Au moins il en restait un par qui la mémoire de ces pauvres hommes pourrait continuer à être. Il avait été blessé, mais vivrait encore. Je me retournai pour le voir...

...et le vis attaquer, dans tout son désespoir, Yumiko la boulangère.

En parfait controle de moi même, avec un air plutot désintéresser de la situation, je fit lever un mur d'eau devant Yumiko, ce qui arrêta le Kunai. Je mavancai et jappuiyai ma main sur lépaule de Nemat.

-Allez Nemat, attrape le et arrêtons de perdre notre temps avec eux.

je voyais que Némat était sur les ners, il voulait tuer lhomme. Malgré tout il se controla et il le fit prisoner de serpents de sables.par les jambes et les bras, il ne pouviat plus rien faire. Je sorti un peiti papier parchemin de ma poche. j'y inscrivi quelque symbole.

- Némat, ceci est un sortilège qui nous permettera de le garder empriconer sans que tu est a tépuisé. Il faut juste ton sang pour que le sortilège fonctione.

Je lui lancai le Kunai, il entailla délicatement l'unde ses doigts et posa spn sang sur le papier. Je placai le papier sur le ront du voleur, et on lembarqua sur le konderir de Yumiko.

-Maintenat, il faut se rendre a la ville, autant pour questioner notre otage que pour moi sinon je vais mourir de désidratation...

Je contemplais le désastre. Quatre hommes étaient morts pour... pour quoi ? Absolument rien. Au moins, il en restait un. Contrairement à ce que Keiji pensait, je n'avais aucune envie de tuer le pauvre ; au contraire, j'aurais aimé être capable de lui assurer de vivre mieux que dans la situation où nous l'avions trouvé. Je le regardai, misérable sur le volatile géant. Dans l'état où il se trouvait, il ne pourrait absolument rien tenter. Je défis le sortilège qui le tenait prisonnier.

"Mer... merci..., dit-il faiblement.

- Ne me remerciez pas, je suis responsable de la mort de votre ami. "

Notre otage était un Gemini ; il n'était donc pas grand. Jeune, vêtu de haillons, on voyait qu'il n'aimait pas ce qu'il faisait, mais qu'il y était obligé. À Apelsin, je le confierais au Patriarche qui saurait s'en occuper.

Nous marchâmes encore quelque distance avant d'arriver en vue de ma ville natale, entourée de murs de grès. Toujours bouleversé, je me réjouis quand même à la pensée d'être ordonné prêtre très bientôt et de revoir mes amis une dernière fois.

Nemat, Keiji, Kenshi & Yumiko --> Apelsin (place centrale)

[Manifestement, je suis le seul à mettre de la sensibilité dans ce récit, bande de tueurs sanguinaires corrompus par la violence moderne...! Comme si ça se faisait tuer du monde comme ça sur la route ! xD]

Je regardai ma Kéleurètil, une de mes première trouvaille, un amas de métal qui indique l'heure sans avoir besoin d'observer le soleil, et vit qu'il était sept heure. La Perle-des-Lacs, un bijoux qui permettait de crée une reflection de quelqu'un, que j'avais laissé à Sagar allait expirer d'un moment à l'autre. Personne ne semblait avoir réalisé que Nesphut Leborien, célèbre collectionneur, était soudainement devenu gaucher. Je jetait un coup d'oeil derrière moi, et la vue des portes de la ville au loin me rassurai. J'avais une bonne longueur d'avance. Il serait difficile de me rattrapé. Je ralentit mon cheval, "emprunté" à l'écurie de Sagar, et continuai au trot.

- Désolé pour Mouka, pensai-je, mais ce que je vais faire est impensable pour une jeune femme comme elle.

Puis, en souriant:
- Même si elle est probablement plus forte que moi. Allons, soyont bon gentleman et n'impliquon pas les dames dans nos plans fou. C'est dommage tout de même, j'aurais bien aimé voir ce festival Gemini... Tant pis, j'essairai de retrouver Paploo avant longtemps.

Je trottait un bon moment avant d'ajouter, tout haut mais pour moi-même:
- Pour l'instant, direction Apelsin. Là-bas, je trouverai peut-être quelqu'un à qui donné la lance. Après tout, c'est une de leurs créations. Et peut-être me laisseront-ils étudier leur Artefact. Ce qui me rappelle...

J'ouvris un petit livret et pris une plume dans mon sac.

- Il faut vraiment que je trouve un nom à cette lance avant d'entrer les données dans mon encyclopédie. Voyons voir, quel serait un beau nom? La Protolance? Non, c'est trop... La Lancedragon? Non, je suis sur de déjà avoir entendu ça quelque part... Voyons voir...

"Nous voilà repartis. "

C'était le matin, et il faisait déjà beau et chaud au-dessus du désert. On commençait à se sentir mieux, parce que nous étions partis très tôt et il faisait encore plutôt frais à ce moment. Ça prendrait environ une journée pour se rendre à Sagar. D'ici là, j'aurais tout le loisir de faire la connaissance de mon nouveau compagnon...

"Tu n'as aucune idée de la raison de cet ordre ? demandai-je à Jar'Kair.

- Non, ils m'ont juste dit de t'obéir !

- C'est assez bizarre... je n'ai même pas de mission précise à faire, alors pourquoi aurais-je besoin d'aide ? Enfin, peu importe. "

Nos ventre commencèrent à gronder, aussi sortis-je de nos provisions de délicieuses dattes (miam !) que nous mangeâmes avec appétit. Après avoir pris une gorgée d'eau (et plusieurs pour Keiji), nous nous remîmes en route. Il n'y avait pas grand monde sur le chemin aujourd'hui, probablement à cause de la situation politique instable...

Je songeai aux artéfacts. Des objets extrêmement puissants... Ce serait intéressant d'en tenir un, ou à tout le moins de le voir. Et il y avait d'autres objets magiques dans le monde...

Je consultai ma carte du désert et je finis par conclure qu'il nous restait encore six à sept heures de marche...

Je marchai déjà depuis une bonne demi-journée. Je me sentais vide et sans âme. Il me fallait aller à Acondra pour me diriger vers la mer poisseuse. Je marchai assez vite. Je n’en pouvais plus de ce sable partout. Comment une société peut vivre dans un endroit si... sec. Je me sentais ralentir par la soif intense que je ressentais. Je pensais à la voix qui m'avait attaqué à deux reprises et à l'incident de la lance. Peut-être que ces deux morceaux étaient deux pièces importantes d'un casse-tête. Et si ces attaques étaient des essaies pour entrer dans mon esprit comme j'avais vécu pendant notre petite aventure. Cette solution me paraissait très plausible.

Les heures passaient et ma soif empirait il me fallait boire à tout prit. Il le fallait ! J'hallucinais sans arrêt de magnifique oasis, mais dès que je m'y approchais il disparaissait sous un néant de sable. Aucun Aquarius saint d’esprit ne peut se promener ici. Pourtant c'est le seul chemin pour se rendre à Acondra, et qui par conséquent est le point de repère pour se rendre chez les Aquarius. Je continuai. J'étais en état de déshydratation avancé. Dans quelques heures je serais sans connaissance en attendant un bon samaritain.

Ça faisait plus longtemps que je pensais que je marchais. Je sentais le temps se rafraîchir. Enfin ! Se serait plus agréable. La nuit tombait tranquillement laissant entrevoir un magnifique couché de soleil dans un endroit désertique. La nuit était tombé, j'aperçu un cours d'eau. J'étais certaine qu'il était bien là. Il grossi quand je m'approchai au lieu de s'éteindre. J'étais folle de joie. J'y pénétrai mon visage en y buvant plusieurs gorgés. C'était si agréable. Il me fallu boire énormément d'eau pour contenter ma soif.

Mouka-->Cours d'eau

Le soleil était puissant et très très chaud. Je me suis promi de venir que très rarement sur ces terres chaudes et secs, même si les nuits étaient très confortable. Je n'avais plus aucune notion du temps. Tout ce que je sais c'est qu'il c'était passé 2 nuits et que je marchais toujours et toujours. Ce chemin est vraiment long. Je décidai de m'arrêté tout pret de cactus. Je le persa avec la pointe de mon épée et de la sève coula, j'avais si soif que je le bus sans me poser de question, tel est-ce-que c'est poison?. Ma soif contenté. Je m'assi en regardant le soleil se couché. Je m'étendit sur le sable en regardant les étoiles aparaitre une par une.

Merde.

J'était presque à mi-chemin entre Sagar et Apelsin et je n'avais toujours vu personne. J'espèrais ne pas devoir aller trop loin, mais on dirais bien que cela ne serait pas possible. Allons, ils ne pouvait plus être bien loin...

Sagar, enfin ! Nous étions presque arrivés : les hautes murailles de la cité des Libra étaient maintenant visibles à l'horizon, avec, derrière, les collines arrondies caractéristiques de cette région.

Derrière nous, le soleil était déjà bas : c'était la fin de l'après-midi. Aussi fus-je d'abord ébloui lorsque je me retournai pour découvrir la provenance des bruits de sabots que j'avais entendus. Un cavalier avançait vers nous au galop; quand il fut assez proche pour que je puisse en distinguer plus que sa silhouette, son visage libra et son manteau rouge me rappelèrent quelque chose...

"Bonjour, fit-il en s'arrêtant. L'un de vous est Nemat ?

- Oui, c'est moi. Bonjour. Qui êtes-v..."

Je le reconnus enfin : c'était un commerçant libra que nous avions vu à Acondra. (Nestruc... Nescafé... non... Nesflûte ? J'y suis : Nesphut !) Il avait quelque chose à me dire, manifestement. Cependant, Keiji était en train de mourir de soif... Chose que Jar'Kair et moi ne comprenions pas vraiment...

"Si nous nous rendions jusqu'à la ville pour discuter ? proposai-je."

Nesphut, Jar'Kair, Keiji et Nemat --> l'avenue de Sagar

2Jours de plus de marche et je voyait enfin Sagar. Plus que quelque mètre.Je les avanca rapidement. J'Avais faim et vraiment soif. Je ne pouvait pas rentré dans l'hotel puisque je n'avais pas payé... Je vis un tout petit café sur l'Avenue principale. Je rentrai et je me prit un immence verre d'eau et un repas pour comblé mon manque de nourriture. Après un repas bien mérité. Je laissa 9 crons sur la table.

Je retourna au petit lac ou c'était passé tout plein de chose. Tout pret du rocher ou Nesphut et moi étiont installé je vis un petit point rouge là tout pret de la roche. Je coura et je vis mon pendatif , lui que j'étais justement venu chercher. Je resta assise sur là roche en antandant un miracle.