La route

Tromal ce promenait sur le chemin en tirant un poids derrière lui. Si quelqu'un se serait trouvé plus près il s'aurait sans doute aperçu que c'était un petit garçon de 6-7 ans. Il était encore vivant mais Tromal le tirais par les cheveux a travers la haute montagne noir. il possédait une petite maison dans la montagne cacher de tous ou il fessait c'est sacrifice.

-bon j'ai l'enfant des collines du nord, du désert....de Acondra ehhh il m'en faut un de cette région car j'ai déja un Libra des collines du nord... Ahh un Aries... bon c'est moi qui va réussir le plus grand sacrifice du monde entier HAHAHAHA....

une fois qui avait enfermer le garcon chez lui il repartit mais cet fois-ci en direction de Acondra




Tromal--> Acondra (la taverne)

-Non...Arrête....Je suis trop fatigué...Je ne peut plus...

-Allez Kenshi...Encore un peu...

-Non. Désolé. Tous mes membres me font mal, je ne suis plus capable, tout simplement. N'importe qui n'aurait même pas capable de perdre de vue Acondra. Même avec la dague.

-D'accord alors. Je vais monter le campement.

Je m'accotai sur un rocher pendant que trixie montair le camp. Je laissai mes pensées vagabonder et inévitablement, elles revinrent à...elle. Pourquoi j'y pensait? Étais-ce parce que je revenais à Zarzamor? Pfff. Je relevai la tête, regardai la route, ce que j'y vis confirma une de mes hypothèses depuis que nous étions partis d'Acondra.

-Trixie...

-Oui?

-Quelqu'un nous suit.

- Merde. Il m'a vu.

Couché sur le ventre, je me dépêchai de mettre Kenshi dans ma ligne de tir. Le reflet du soleil sur le canon métalique de mon fusil devait être ce qui m'avait trahi. Il faudrait que je me souvienne de le peindre en noir. Mais pour le moment, c'était plus pressant d'abattre Kenshi. Je croyais que quelqu'un l'avait forcé à marcher jusqu'ici, mais si il y allait de plein gré, je ne pourrait probablement pas le convaincre de venir avec moi. Et il ne fallait pas qu'il atteigne Zarzamor.

Ma cible était adossé à une roche. Heureusement pour moi, il ne semblait pas avoir compris ce que je tenais dans les mains, car il prit un moment avant de réagir. Un moment de trop.

La détonation de mon arme se réverbéra tout autour de nous. Une balle de plomb partit à une vitesse quasi sonique vers le Virgo un peu plus loin. Il n'aurait pas le temps d'esquiver. Même pas le temps de commencer à penser à esquiver.

Si le tir ne manquait pas. Ce qu'il fit avec panache et fierté. À ma grande irritation.

- Il faut vraiment que je trouve quelque chose de plus efficace que ça...

Cela serait pour plus tard. Quelque trois cents mètres plus loin, un Prince Virgo enragé venait de me classifié comme son ennemi. Les choses allait devenir intéréssante.




Malheureusement.

On nous attaquait. Kenshi avait plutot l'air décider de régelr sa par lui même. Trixie decida d'attendre un moment, voir si un duel allait sengager et si tout tournait mal, elle serai en mesure de pourter main forte a Kenshi.

-Je sais
-Oui je le ferai si jamais il y en a une qui meurt
-Je fais mon possible
-tout sera bientot terminé
(Trixie marmonait toute seul a l'écart des deux autres...on ne pouvait comprendre se qu'elle disait)

Je me mit à recharger mon arme à toute allure. Kenshi était encore relativement loin, j'aurais peut-être le temps d'un autre tir.

Mais c'était sans compté sur la rapidité de mon adversaire. Même blesser, il réussi à parcourir la distance nous séparant en un éclair. J'eu juste le temps de lacher mon arme et de faire un bond en arrière avant que la hache de mon ami virgo la fasse voler au loin d'un puissant coup.

Je sorti mon épée de son foureau et me plaçais en position de combat. Malgré un entraînement au maniment des armes et l'étude de plusieurs bouquin de tactics et d'aide au combat, mon expérience réel était quelque peu limité. Mais comme Kenshi était blessé, et avec mon héritage libra, je devrais pouvoir tout au moins survivre, peut-être même gagner. Et si les choses tournait mal, j'avais encore mon dernier atout. Je préfèrerais ne pas l'utiliser, mais on verrais bien comment les choses évoluraient...

Déjà, mon adversaire engageait une première action.

La douleur et toutes autre sensations avaient cessé. C'était maintenant l'instinct de survie qui guidait mes mouvements. J'attaquai d'un mouvement latéralqu'il esquiva en se baissant. J'enchainai ensuite avec un mouvement descandant que ma victime, penchée, aurait plus de mal à éviter.

Je m'arretai en plein mouvement. Je laissai tomber ma hache, qui resta plantée dans le sol. Je saisis ma tête à deux mains et hurlai de douleur. Je tombai à genoux.

C'était ce moment qu'avais choisi Gon-Mon Zul pour prendre le controle.

(HJ: Cette scène se passe dans la tête de Kenshi)

*Alors Kenshi...Fatiqué je crois...*

*Tais-toi...*

La grande silouhette en robe noire me toisait avec dédain.

*J'ai passé les 21 dernières années enfermé dans ton esprit, te laissant puiser presque à ta guise dans mes pouvoirs. Et tu voudrais que je me taise? *

*Tu sais comme moi que je ne suis pas responsable de cette situation.*

*Peut-être mais alors tu es le plus malchanceux des hommes kenshi. Car maintenant je vais prendre possesion de ton corps.*

*Tu ne pourras pas. Je t'ai gardé encagé durant toutes ces années. Je vais continuer.*

La silouhette de pencha et me pris mon menton entre ses deux doigts.

*Je ne crois pas mon cher. Ce séjour sur la croix t'a affaibli. Autant physiquement que mentalement. et c'est maintenant que je prends le contrôle.*

Il y eut un grand éclair blanc et je perdis conscience.





Kenshi ou ce qui semblait être Kenshi se releva. Il regarda autour de lui et éclata d'in grand rire.

-Ca y est! Je suis Libre! J'ai réussi à en sortir! Je vais réduire ce monde à néant.

Il regarda le libra qui le fixait avec étonnement.

-À commencer par toi...

- Merde! Pourquoi les contre-temps fâcheux tombent toujours sur moi?!

Je maudit tout bas ma malchance, puis essayai d'analyser la situation. Je croyais que la proximité de Zarzamor permetterait à Gon-Mon Zul de s'évader plus facilement de sa prison, c'est pourquoi je voulais empêcher Kenshi de s'y rendre. J'avais envisagé des dizaine de possibilités de réaction de Kenshi, mais je n'avais jamas envisagé le scénario où le grand prêtre se libérait vraiment.

- Bon, on dirais que je n'ai pas le choix... Vous, le viellard!

Le corps de Kenshi se tourna vers moi. Je tendis ma main, paume vers terre, pour révéler une petite bague rouge sur laquelle était graver une demi-lune.

- Je suis juge, jury et bourreau. Je vous condamne, ici et à cette heure précise, à la mort et cela, par ma main. Que les dieux aient pitié de vous et qu'il vous pardonnent après votre mort.

Je retirai ma main de sa vue et la plongeait dans une pochette attaché à ma taille. Je n'avais que trois objets.

Pas le droit à l'erreur.

-Le juge, jury et bourreau? Tu vas voir pauvre larve! Tu ne mérites même pas que je te tue moi-même!

Le prètre commenca à faire des mouvements dans le vide et frappa le sol de son pied trois fois. Trois silouhettes de terre d'apparence humaine en sortirent.
Les trois crétaures ouvrirent les yeux en même temps.

-Je vous ai tirés des abysses et mis dans ces corps de boue et de pierre. Maintenant, pendant trois lunes vous m'obéirez. Votre premier ordre sera de détruire ce libra devant moi.

-Oui maitre! Répondirent-ils d'une même voix.

Plutôt classique, ce prêtre... Le coup du tu-est-trop-faible-pour mériter-que-je -te-tu-moi-même est une stratégie employer par les gens qui se croyait en situation de grand avantage. Ce qui voulait dire que mon adversaire ne se doutait toujours pas de ma force. Ce qui était étrange, considérant que je lui avait montré ma bague. Peut-être sa mémoire faisait-elle encore un peu défaut. Enfin, cela jouerais tout de même à mon avantage. Et j'aurais besoin de tout les avantages que je pourrais avoir.

- Bon, et bien puisque c'est comme ça que tu veux jouer...

Lentement, je tirai une paire de bracelets de mon sac d'objets. Je les mits autour de mes poignets, ne laissant jamais les trois créature de roche hors de ma vue. Je remit mon épée dans son fourreau.

- Je ne suis pas sans défense.

Je vérifiai que ma boucle d'oreille était toujours bien fixé et que mon sac de taille était facilement accessible.

- Voyons voir si je ne mérite vraiment pas ton attention.

Pas le droit à l'erreur.

Je fit un pas par en avant.

J'encaissais quelques coups des créatures de terres, mais je réussi à rester debout. Lorsque l'une d'elle tenta à nouveau de me frapper, je réussi à esquiver son attaque en me penchant. Profitant de cette occasion, je sortit de ma pochette à objet une petite sphère et d'un geste rapide, je la projetai sur la créature. Cette sphère, appelé Raz, était une découverte scorpius très récente. Une certaine pierre, réduite en poussière et mélanger à d'autres ingrédients, produisait une explosion lorsqu'elle était soumise à un choc important. L'effet attendu ne se fit pas attendre. La première des trois créature vola en éclats, et la deuxième, situé toute proche, reçut plus que sa part de débris à haute vitesse. Je me relevai de la position accroupis que j'avais adopté pour me protéger de l'explosion juste à temps pour voir la dernière figure de terre envoyer un direct du droit dans ma direction. Je parvint à rouler de coté assez rapidement pour éviter le coup, mais je me retrouvais dans une position très désavantageuse pour l'attaque et l'esquive. De fait, un coup de pied bien placé me coupa le souffle et m'envoya rebondir quelques mètres plus loin.

Je me relevai avec difficulté et fit fasse à mon assaillant. J'esquivait avec difficulté son assault suivant, mais je trouvai tout de même l'énergie de lui décroché un coup de poing dans le corps. À la surprise du grand Gul-Mon, ou du moin l'espérai-je, ma cible se fragmenta sous l'impact. Je retirai mon poing du corps de la dernière créature en tentant de cacher le sang et la peau arraché qui le recouvrais. Puis, en essayant d'ignorer la douleur, je me retournai vers le prêtre lui-même, un sourire narquois forcé sur le visage. Celui-ci ne dura pas longtemps. Apparement, il avait abandonné le rôle de l'observateur pour celui du participant. Mes yeux s'aggrandirent à la vue du terrible sort qu'il préparait. J'effleurai ma boucle d'oreille, puis avalai avec difficulté.

Je n'était pas au bout de mes peines.